Responsabilité Sociétale
des Entreprises

Je m’inscris dans une démarche participative en travaillant depuis un tiers-lieu permettant le partage des savoirs et des ressources et la mise en œuvre d’un outil de travail partagé.

Je favorise les circuits-courts en privilégiant les chantiers proches et en maximisant les déplacements à pied ou à vélo, le covoiturage pour les déplacements plus lointains lorsque cela est possible.

Dans la gestion des ressources, je n’imprime que le strict nécessaire et fonctionne en dématérialisé pour l’essentiel de mes documents. Je pratique le tri sélectif.

Je fonctionne avec des dossiers partagés pour les échanges avec les clients et les entreprises, pour éviter les pièces jointes volumineuses.

Le choix de mes équipements est toujours pesé en fonction de mes besoins réels, de l’empreinte carbone (lieu de fabrication, recyclage, emballage, durée de vie, etc.).

Je fais le choix de partenaires éthiques, que ce soient mes fournisseurs (énergie, bureautique, etc.) ou mes contacts professionnels.

Je travaille en partenariat avec des architectes et des architectes d’intérieur, dans une approche collective et humaine des projets.

L’évolution du métier tient une place prédominante dans la conception des projets. Je porte une réflexion particulière aux habitats partagés, au relogement, aux projets à fort intérêt social et d’intérêt collectif.

J’accueille régulièrement des stagiaires dans un souhait de transmission.

Nous avons en tant que Maître d’Œuvre une responsabilité dans le choix de produits responsables. J’essaie d’accompagner mes clients autant que possible vers le des produits qui peuvent être fabriqués localement, biosourcés ou issus de filières recyclables, ou encore les matériaux de réemploi lorsque cela est possible.

J’essaie de valoriser la récupération des eaux de pluies dans les projets. Je mets en place des toilettes sèches sur les chantiers.

Les projets sont raisonnés par rapport à leur environnement, au maintien des arbres existants et remarquables.

La réduction de l’empreinte carbone passe aussi par le choix d’entreprises locales pour la réalisation des travaux.

Une réflexion est portée sur la gestion des énergies, sur l’albédo des bâtiments et sur les alternatives à la climatisation par la protection solaire, l’installation de brasseurs d’airs ou par les plantations.

Du fait de mon expérience, j’ai tendance à privilégier la restauration de bâtis existants et/ou vacants et la rénovation énergétique.

Je tiens compte dans mes projets de l’étalement urbain et veille à la non-artificialisation des sols.

L’entreprise adhère par ailleurs aux valeurs de l’association Lacanaupée, laquelle est sensible à la préservation de l’environnement et à l’urbanisme durable.